Numérologie ⇒ Pythagore / Le carré de Pythagore avec l'interprétation pour 27.06.1687 (27 Juin 1687)

Le détenteur de la personnalité "11" est une personne douce et amicale. Il établit facilement des contacts, est toujours prêt à voler au secours de ses amis, avec les personnes du sexe opposé, il aura des relations étroites et sera toujours là pour écouter et donner un coup de main - c’est le meilleur ami possible.. Tout ce qu'il exige en retour est une évaluation adéquate de ses actions, une approbation explicite et sans équivoque. Il est très important pour ce genre de personne d'entendre des louanges. Et si des mots de gratitude sonnent en présence d'une « tierce personne », c'est encore mieux. C’est une espèce de "certificat" d'utilité, d'importance. L '«utilité » surtout lorsqu’elle s’accompagne d’une grande énergie, ne fait pas de doute. Avec ce genre de personne, vous pouvez réaliser tout ce que vous désirez à condition de ne pas oublier a temps de le “caresser dans le sens du poil”. Ca marche mieux que n’importe quelle compensation vu que "la gratitude bien méritée" est la base de sa motivation.

Indicateur de l'état, quand l’organisme manque de "réserves d'énergie" pour répondre à tous ses besoins. Parallèlement, il n’est pas à cent pour-cent "vampire", mais, comme le porteur de l’indice" de l'énergie "2- négatif", c’est une personne qui a besoin d'un "donneur", et par conséquent - elle est toujours excitée, nuisible et agaçante. En même temps, une personne avec l’indicateur "2" est capable d'effectuer des actions qui produisent des résultats objectivement positifs. C'est un "investissement", qui doit nécessairement se solder par un gain, sous forme d'approbation et reconnaissance publique du mérite. Son leitmotiv, pas d’intérêt, pas d’action. Et très souvent, un tel énoncé constitue l'erreur principale. En effet, pour améliorer cette qualité, il est important d'apprendre à ne pas gaspiller l'énergie disponible en vain. Or le désir de mériter des éloges conduit à fournir « des efforts inutiles », comme disent les médiums.

Un penchant certain, mais instable dans le domaine des sciences exactes. C’est dans le sens ou la personne a des aptitudes évidentes, mais pas une grande volonté de s’investir dans ce domaine. Au final, malgré le potentiel évident, les résultats ont tendance à être plutôt ambigus. Dans la majeure partie des cas, on assiste à un mouvement perpétuel d’un côté à l’autre et inversement. Elle se traduit par une envie manifeste, immédiatement suivie d’une perte d’intérêt total et très rapide pour ce domaine. En fin de compte, le sujet finit soit par ignorer totalement l'opportunité qui se présente à lui, soit encore se réfugie dans une espèce de méditation interne pour essayer de se comprendre. Dans ce dernier cas, il est impossible de juger les « succès » atteints vu qu’il est impossible d'établir la moindre comparaison. Il existe une autre option plutôt rare lorsque des informations et des compétences séparées peuvent être combinées, "aboutir à un dénominateur commun". Cela conduit à la naissance de nouveaux champs de connaissance, de nouvelles sciences. Pas besoin de chercher des exemples très loin : la numérologie est la fusion des mathématiques et de la psychologie.

Ce n’est pas la meilleure valeur qui soit. Quoi que de nombreuses personnes devenues par la suite très célèbres sont également connus pour avoir eu une santé très fragile dans l’enfance. On citera en guise d’exemple, Alfred le Grand, Hans Christian Andersen, Morihei Ueshiba. Cependant, cela n'empêcha pas le premier de gagner son surnom, le second de devenir le plus grand conteur de tous les temps, et le troisième d'inventer l'aïkido. Une santé fragile n’est pas une raison de se rendre et éviter de s’investir. Il est toujours possible de venir à bout de ses problèmes de santé en recourant a des techniques et méthodes qu’on adaptera à chaque cas spécifique. Il n'est pas nécessaire de devenir un héros à la force surhumaine ou une "superstar" sportive (bien que cela peut aussi arriver). Il suffit de se maintenir à des indicateurs stables, afin que ces faiblesses n’aient aucune incidence sur la vie quotidienne et n'empêchent pas de se livrer à ses activités favorites, donner naissance et élever des enfants, se sentir heureux, enfin de compte.

Cette catégorie de personnes est souvent qualifiée de rêveurs, ce qui semble tout à fait inoffensif. En théorie, il n'y a rien de répréhensible dans le fait de se perdre de se perdre dans les rêves, à condition que cela ne concerne que la personne elle-même. L'auteur de ces lignes connaissait personnellement un architecte raté qui décida soudainement de se lancer dans l'astrophysique, tout en ignorant absolument tout du sujet. Pendant cinq ans, il écrivit une montagne de papiers (à la main), jusqu'à ce qu'il se retrouve un jour en main avec un document, où en vingt pages seulement, on prouvait l'inconsistance de la théorie qu'il avait choisie. Eh bien, il s’agissait de ces cinq années perdues. Mais il aurait tout aussi bien pu se marier ... Les détenteurs de cet indicateur ne doivent surtout pas se lancer dans l'étude des sciences exactes. Ils gagneraient davantage à s’investir et orienter leurs talents vers des disciplines humanistes où chacun est libre de s'exprimer à sa guise, sans risquer de nuire aux autres. Seulement voilà, il n’y a rien de plus complexe et problématique qu’une relation avec une personne incapable de voir la relation entre les causes et les conséquences. Le seul espoir est que tôt ou tard, la logique manquante sera comblée par l'expérience de vie acquise.

L'excès de qualités empêche cette personne de contrôler leur domaine d’application de son potentiel physique. La surabondance des forces peut devenir une incitation à des actions dont les conséquences sont difficiles à prévoir. On dit généralement de ces personnes qu’elles semblent posséder par le diable, saint Jean le Théologien a purement et simplement appelé le numéro "666" "le nombre de la bête". Même sans prendre en compte le mysticisme et en se tournant uniquement vers la pratique, on se retrouve avec une personne que rien ni personne ne peut arrêter, quelle que soit la direction qu'il prend. En conséquence, c'est souvent un "soliste" solitaire. "Niccolo Paganini." "Homme d'humeur", que l’entourage a toujours de mal et dont personne ne peut prévoir les réactions. Des relations ne sont possibles avec lui que si l’interlocuteur n’essaie pas de s'intéresser à son for intérieur et pénétrer son esprit. En d'autres termes, ne lui cherchez pas de poux dans la tête.

Une personne avec un tel indicateur n'a pas du tout besoin de chance. Il a reçu la Connaissance. On peut dire qu'il "a été béni par Dieu", et est lui-même devenu une “divinité”. Par conséquent, il détermine lui-même son chemin de vie. Sa « chance » se transforme en la capacité d'exclure la « malchance ». Il n'est aucunement limité. Il sait ce que lui prépare l'avenir et l'accepte. Mais il ne le prend pas comme fatalité fatale, il le perçoit plutôt comme un « matériau » pour construire son propre monde. Si des échecs se produisent, ils sont le résultat d'une tentative d'aller à l'encontre de sa propre essence, une évaluation incorrecte de sa propre destinée. Mais dans ce cas, il ne peut y avoir aucun "crash", car il a toujours un moyen de s'en sortir. C’est juste un petit accroc sur son chemin, sans plus.

Cet indicateur signifie que son propriétaire a une idée de ce que son devoir exige de lui, mais n'a aucun désir particulier de satisfaire à ces « exigences ». Par conséquent, la « pierre angulaire » devient un « joug » et toute relation, au lieu de devenir une source de satisfaction, devient un lourd fardeau. Malheureusement, c'est un phénomène assez ordinaire. Beaucoup de personnes sont incapables de comprendre que les meilleures relations ne sont pas celles qui sont construites sur la base du besoin, d’obtenir, mais plutôt celui de donner. Une personne qui a déjà négligé ne fut-ce qu’une fois son devoir envers quelqu'un d'autre, porte une sorte de « stigmatisation » de non-obligation, dont les retombées négatives finiront tôt ou tard par apparaître. Mais ce n'est pas ce qu’il y a de plus malheureux. Le pire est que cette dette est comme un poison qui détruit l'existence de la personne et la rend encore plus malheureuse.

L'homme ne peut pas gagner de l'argent intellectuellement. Les capacités mentales sont très réduites et la pensée logique peu développée. Cette personne se fie davantage à son intuition et à ses comportements instinctifs qu'à son propre esprit et à sa pensée logique. Ces personnes préfèrent travailler plus physiquement que mentalement. Cette catégorie de personnes simples et ne devrait pas attendre d'eux une grande efficacité. Pour travailler, ils sont responsables, mais agissent seulement selon l'ordonnance.